Le Découpage du simulateur

Le simulateur chez soit c’est très bien, mais le simulateur en démonstration c’est beaucoup mieux

Ce choix est important, cela dépend de ce que vous souhaitez faire avec le simulateur. Par définition un liner se pilote en équipage, donc il faut trouver un autre pilote. Chez soit ce n’est pas toujours facile, alors il faut le bouger. Pour cela il faut le construire en fonction des déplacements à faire, que chaque morceau puisse être bougé par une personne seule, dans un véhicule de type utilitaire avec le permis de conduire pour voiture. il faut pouvoir protéger les différents morceaux pendant le transport, et avoir un démontage et remontage simple avec un temps réduit. La solution la plus simple et efficace, c’est de faire une structure qui une fois montée va recevoir les éléments de la composition du simulateur. La structure à été traitée, il faut maintenant passer aux différents blocs du simulateur. Ils sont naturel de fait, c’est à dire un MIP, tableau de bord général, sur lequel on viendra poser le GLARESHIELD c’est à dire la casquette. Sur chaque côté viendront des caissons avec les commandes de vol SIDESTICK et TILLERS, dessous au centre un caisson dit PEDESTAL c’est à dire le pylône avant et pylône arrière. Au dessus les deux OVERHEAD Forward et AFTER c’est à dire la partie avant du plafond et à la suite la partie arrière. Chaque bloc sera autonome en alimentation, gestion des différentes alimentations, HUB USB avec alimentation, l’idée étant de réduire au maximum les fils pour avoir des temps de montage rapides. Facile à dire mais pas toujours facile à faire. Aucun bloc ne devra avoir une dimension ne permettant pas de passer dans un ascenseur de 4 personnes, une porte standard de 0,72m de largeur, et entrer directement dans un véhicule de transport et ce dans les trois dimensions. Aucun module ne devra peser plus de 50 kg et dans ce cas il devra être sur 4 roues avec freins dont 2 seront directrices.